Déhanché endiablé, dans l’étang, sous le vent,
Le cœur cuivré de rouille, battant hors de son temps,
Oscille entre ses reins, coulant hors de ses pores,
Au rythme de ses pas, part sa lumière encore.
La passion dévorante, et le corps sous chaleur
La fiévreuse nuitée, éthérique, son mal(-)heur(e),
Manque de se brûler, l’épiderme en étain.
Montée en extatique, l’ombre danse à sa fin,
Douleur de cette caresse, paresse de contenir
Ivresse. Ou Folie pure, ou maudit avenir,
Le sens et la raison, quittant ses simples lèvres,
Aux yeux de ces mondes, un simple mot l’achève.
ELxCRE