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La police recherche toujours activement Mme Rivelis, disparue depuis le 28 février 2022. Elle recherche aussi un homme avec un tatouage spécifique : un triangle chevauché d’un cercle. Si vous avez des informations à ce sujet, n’hésitez pas à les appeler.
Un homme interpellé par la police
Il y a quelques jours, la police à interpellé un homme, 30 ans environ, portant un tatouage. Il est resté en garde à vue pendant 24h et voici ce que nous révèle une source sûre : “Ils l’ont arrêté à cause de son tatouage mais il n’avait rien à voir avec l’affaire. Ce tatouage à été fait dans un salon à Bordeaux. Il ne manque plus qu’à la police ou aux enquêteurs de faire leur travail et d’arrêter de l’embêter. Il n’a rien fait.” Nous voulions interroger le jeune homme mais celui-ci n’a préféré rien dire. Peut-être que sa garde à vue a été rude.
En même temps que cet interrogatoire, la police a voulu interroger les collègues de Lola Rivelis. Ces derniers ont tous déclaré qu’elle était en retrait au travail. “Elle ne parlait à personne” affirme une employée. Pour tous ses collègues, elle était la seule qui ne sortait pas après le boulot. Tous ses collègues se retrouvaient au bar du coin de la rue. “Elle prétendait qu’elle devait rentrer pour ses enfants” nous révèle sa collègue la plus proche. Or, Mme Rivelis disait à son mari qu’elle y allait.
Mais alors, où se rendait Lola Rivelis après sa journée de travail ?
Le salon de tatouage
La police a donc enquêté sur ce fameux salon de tatouage. Il se situe à Bordeaux, dans une petite rue passante. Le gérant du salon nous a bien reçus. Il nous a appris que la police voulait voir son registre et qu’il a collaboré de suite. “Plusieurs personnes étaient venues faire ce tatouage quelques mois auparavant mais je n’avais pas fait le rapprochement”. Il s’était dit que ce devait être un tatouage assez commun. Il ne se souvient plus des personnes physiquement mais possède leurs informations personnelles. La police a donc pris les coordonnées de toutes les personnes portant le même tatouage. Nous saurons d’ici quelques jours l’avancée de cette piste.
Parallèlement, la maison décrite par Lucas Rivelis est assez commune. Mais la police a recensé toutes les maisons correspondantes et les a surveillées. Certaines maisons n’étaient pas habitées, d’autres étaient des refuges et la plupart abritaient des familles connues de cette petite ville. Des personnes de confiance. La police a donc demandé aux habitants de la bourgade de rester vigilants et d’essayer d’observer les activités des maisons aux volets bleus et portillons verts.

L’enquête est donc plus avancée que jamais, nous aurons sûrement plus d’informations la prochaine fois. Nous sommes de tout cœur avec la famille Rivelis, ils traversent un moment difficile et nous espérons que la mère reviendra parmi les siens. En attendant, si vous avez une quelconque information, faites-le savoir à la police.
Warning : Cet article est entièrement faux. Il s’agit d’une pure invention de fiction reprenant les codes des faits divers. Une enquête fictive. À ne pas prendre au premier degré. Par contre, libre à vous de spéculer sur les faits rapportés et de donner vos théories sur ce qu’il s’est passé dans cette histoire !