Vous voulez écrire. Mais vous ne savez pas comment répondre à la question : Comment commencer à écrire un roman ? Vous vous demandez : par où commencer ? Pourtant, vous vous concentrez et essayez d’écrire. Mais votre esprit devient flou. Vos idées passionnantes semblent banales. Peu importe le nombre de phrases que vous enchaînez, vos mots ne vous mèneront nulle part.
Là, la chance vous sourit ! Vous tombez sur un article qui expose les points clés à connaître pour enfin bien démarrer votre roman. Profitez en bien !
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1) Un prologue rythmé
Votre premier paragraphe doit initier une action. Je ne parle pas (nécessairement) d’un combat sanglant, d’une fusillade ou d’une poursuite. L’action peut être plus calme, selon votre histoire.
Ce qui compte, c’est que l’action est en cours. Ainsi, votre lecteur commence par la première ligne. Au lieu de cela, laissez peu de place à la description au début de votre roman. N’utilisez pas un paragraphe entier pour décrire le lieu de l’action, suivi du visage et des vêtements du personnage.
Allons droit au but : une action, deux ou trois phrases descriptives bien espacées, et nous passons à autre chose.
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2) Un thème clair
Si vous envisagez d’écrire de la fiction, vous savez de quoi parle votre histoire. Mais n’oubliez pas le sujet !
Pour identifier votre roman, observez le point culminant de votre histoire. Quelles valeurs sont en danger ? Que pouvez-vous exploiter tout au long du roman ? Cherchez des phrases qui définissent votre concept de cette valeur.

3) Le style parfait
Il existe quatre types d’ouvertures : illustration, description, résumé ou scénario. La question est : laquelle séduira vos lecteurs ? La fiction grand public a tendance à commencer par une scène. La conversation peut aussi devenir une solution lorsqu’elle est maîtrisée. En effet, cela peut piquer la curiosité et donner envie d’en savoir plus. Mais il ne doit pas impliquer trop de caractères pour ne pas perdre le lecteur.
Vous devez également laisser quelques éléments d’exposition pour positionner la scène, et n’en faites pas trop. Quant à l’écrivain américain Alan Sussman, elle choisit souvent d’aller au fond des choses par l’action : intégrer le lecteur dans mon univers. Ils doivent sauter dans l’action et rejoindre le personnage. Le prologue doit montrer une certaine tension narrative et mettre en valeur les personnages principaux. Bien sûr, le ton est censé être annoncé. »
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4) Un bon paratexte : le prologue
Les préfaces entrent dans la catégorie des paratextes, tout comme les préfaces, les avant-propos, les avant-propos, les dédicaces ou les avertissements. Chacun a ses propres particularités. C’est pourquoi les utiliser comme synonymes est un abus complet.
Cependant, ils ont tous le même objectif : aider le lecteur à mieux apprécier sa lecture. On peut donc retrouver chacun de ces paratextes dans le même livre si on pense que ça aide mieux.
Ensuite, nous commençons généralement par la préface, puis la préface, puis le prologue et les avertissements, et enfin, nous terminerons par la préface. Tout cela avant de commencer à lire le livre.
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Enfin, le préambule n’est pas figé. Pour l’écrire, vous pouvez bien sûr partir d’un plan ou d’une esquisse que vous avez écrit avant de commencer à écrire votre roman. Mais, comme tout auteur le sait, ces personnages ont malheureusement tendance à vivre leur propre vie sans se soucier de leurs créateurs.
En conséquence, l’histoire peut prendre un détour auquel personne n’a pensé en premier lieu. Surtout l’auteur ! Alors si l’on veut éviter de fâcheuses incohérences, il ne faut pas oublier de réajuster le prologue à la progression de l’histoire et à l’épilogue final.
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